4 hours ago
Une idée fugace sur le manuscrit de Voynich, posée là.
Pas une théorie béton, juste une sensation qui m’a traversé.
Et si ce bouquin… n’était pas fait pour être "lu", ni traduit, mais juste ressenti ?
J’ai repensé à ce que je ressens parfois quand je fais une petite création perso :
la feuille entière prend un sens, même les trucs involontaires — une tache, une pliure, l’odeur du papier…
Et ça m’a frappé : et si le Voynich, c’était pareil ?
Pas un langage avec des règles, mais une espèce de langage émotionnel, où chaque mot serait comme un son intérieur, une humeur.
Les lettres qui changent dans les mots, ce serait pas des erreurs ou des codes, mais des modulations sensibles : intensité, nuance, tension, douceur…
Les dessins aussi : ils font un peu test de Rorschach. Tu les regardes, et tu projettes quelque chose sans que ce soit clairement défini.
Ils t’orientent vers une émotion, une ambiance. Comme si le sens venait de toi, pas du livre.
Et tout ça, mis ensemble, ferait un truc presque synesthésique :
une lecture qui n’est pas dans les mots, mais dans les ressentis.
Comme une partition mentale que chacun joue différemment.
Et c’est peut-être pour ça qu’on n’arrive pas à le reproduire, ni à le décrypter.
Parce qu’il n’existe qu’à l’instant de sa création, à travers la personne qui l’a écrit, dans son état d’âme du moment.
C’est pas un message universel. C’est un instant unique, devenu objet.
Voilà. Une intuition, sans prétention.
Je la balance là comme elle m’est venue.
Bonne journée à tous.
Pas une théorie béton, juste une sensation qui m’a traversé.
Et si ce bouquin… n’était pas fait pour être "lu", ni traduit, mais juste ressenti ?
J’ai repensé à ce que je ressens parfois quand je fais une petite création perso :
la feuille entière prend un sens, même les trucs involontaires — une tache, une pliure, l’odeur du papier…
Et ça m’a frappé : et si le Voynich, c’était pareil ?
Pas un langage avec des règles, mais une espèce de langage émotionnel, où chaque mot serait comme un son intérieur, une humeur.
Les lettres qui changent dans les mots, ce serait pas des erreurs ou des codes, mais des modulations sensibles : intensité, nuance, tension, douceur…
Les dessins aussi : ils font un peu test de Rorschach. Tu les regardes, et tu projettes quelque chose sans que ce soit clairement défini.
Ils t’orientent vers une émotion, une ambiance. Comme si le sens venait de toi, pas du livre.
Et tout ça, mis ensemble, ferait un truc presque synesthésique :
une lecture qui n’est pas dans les mots, mais dans les ressentis.
Comme une partition mentale que chacun joue différemment.
Et c’est peut-être pour ça qu’on n’arrive pas à le reproduire, ni à le décrypter.
Parce qu’il n’existe qu’à l’instant de sa création, à travers la personne qui l’a écrit, dans son état d’âme du moment.
C’est pas un message universel. C’est un instant unique, devenu objet.
Voilà. Une intuition, sans prétention.
Je la balance là comme elle m’est venue.
Bonne journée à tous.